Tell’ment je m’aime, oh, je m’offrirais des fleurs,Du parfumJ’ me prendrais par la mainJ’ voudrais mon bonheur
Tell’ment je m’aime, j’ passerais bien tout l’étéTout seul avec moi-mêmeFaudra-t-il que je m’aimePour ne pas m’ lasser
Tell’ment je m’aime, dès que quelqu’un m’approche,J’ me fais des scènesJ’ me fais les pochesJ’ me fais d’ la peine,Des reproches
J’en arrive à m’ tromperMe mentir à moi-mêmeJe n’aime plus comme je m’aimeJe peux plus m’ supporter
Tell’ment je m’aimeJe voudrais pas m’ fâcherTell’ment je m’aimeTell’ment je m’aimeMe quitter oh ouh oh
Tell’ment je m’aime, oh, c’est moi qui vais partirTell’ment loinOublier mon chagrinRéapprendre à sourire
Tell’ment je m’aime et tell’ment je suis fierJe ne reviendrai pasJe penserai à moiEn r’gardant la merTell’ment je m’aime, tell’ment je m’aime, tell’ment je m’aime.
Maxime Le Forestier (2008)
N.B. : 2008 est précisément l’année bénie où Soad et moi avons été admis, au mois de juin, conjointement à la retraite.
Tell’ment je l’aime, mais tell’ment elle m’aime aussi : c’est à elle que que je dois la prise de la plupart des vues qui suivent.
